mardi 15 octobre 2013

Caravane de la rentrée - Dominique Ouattara comble les tout-petits de Séguéla et Mankono

La caravane de la rentrée scolaire de la Fondation Children Of Children a terminé sa tournée à Mankono au Groupe scolaire Ladji Karamako, le samedi 28 septembre dernier. Pour l’événement, la communauté scolaire a fait le plein, écoliers et enseignants étaient au rendez-vous. « Tous les indicateurs du développement s’accordent à reconnaître que la promotion humaine commence par l’instruction. L’école trouve donc tout son sens, mieux l’école est le bien le plus précieux qu’on puisse offrir à une communauté pour son épanouissement. Dans cette optique, offrir une école c’est bien, mais donner les moyens d’y fréquenter c’est encore meilleur », a relevé Mme Dosso Namisata, 1er adjoint au Maire de Mankono. Par ailleurs, elle a exprimé la gratitude et la reconnaissance des populations à la Présidente-Fondatrice de Children Of Africa, Dominique Ouattara. Nadine Sangaré, Directrice Côte d’Ivoire de la Fondation a, quant à elle, exhorté les tout-petits à obtenir de bons résultats scolaires afin de devenir des hommes et des femmes qui comptent. La Fondation a offert 650 cartables, 650 tenues scolaires, des paires de chaussures, du matériel didactique et sportif pour les écoliers de Mankono commune et du village de Tomono. Des brouettes et des râteaux pour maintenir l’environnement propre. L’école maternelle «Ladji Karamoko » a également reçu un lot d’équipements. Les cantines scolaires n’ont pas été oubliées, elles ont reçu des vivres et du matériel d’hygiène. Avant Mankono, la caravane a marqué un arrêt, le vendredi 27 septembre dernier, à Séguéla plus précisément au Groupe scolaire Camp militaire. 730 cartables, 730 tenues scolaires, 730 paires de chaussures, des kits scolaires, 100 livres, du matériel pédagogique et sportif ont été offerts à ce Groupe scolaire et à l’EPP Lohou. Ce sont au total des dons d’une valeur de plus de 46 millions FCFA qui ont été faits à ces deux localités.



Sachets plastiques : Les femmes des travailleurs sollicient l’aide de Mme Dominique Ouattara

Dans moins de deux mois, le décret du 22 mai 2013 interdisant les sachets plastiques entrera en vigueur. Et cette échéance inquiète les femmes des travailleurs de ce secteur, qui redoutent la mise au chômage de leurs maris. Surtout que les entreprises productrices de ces sachets ont commencé à délocaliser dans certains pays voisins. Face à cette situation difficile, pour elles, ces femmes ont décidé de lancer un cri du c?ur à l’endroit de la Première Dame. « Notre salut passe par Mme Dominique Ouattara, cette grande dame au cœur d’or. Nous en appelons à sa co
mpassion. Nos époux perdent leur emploi, nous n’arrivons plus à joindre les deux bouts encore moins à scolariser nos enfants, en cette rentrée scolaire », pleure Mme Aline Y. Kouassi. Avant d’ajouter : « Qu’elle porte notre cause auprès de son époux, le Président Alassane Ouattara». Comme elle, Mme K. Sylla fonde également tous ses espoirs sur la Première Dame de Côte d’Ivoire. « C’est seulement d’elle que peut venir notre salut», lance t-elle, la voix nouée d’émotion.

jeudi 26 septembre 2013

Les 3 vies de Dominique Ouattara

Dominique Ouattara a créé un groupe immobilier et racheté les salons Jacques Dessange aux États-Unis, puis est devenue il y a trois ans la Première Dame de Côte d'ivoire. Aujourd’hui, elle se consacre principalement à sa Fondation Children of Africa. Elle a fait de son sourire, son arme de prédilection et une protection commode, aussi. Etant Première Dame de Côte d'ivoire, Dominique Ouattara peut affirmer qu’elle n'a pas toujours vu la vie en rose puisqu’avant de devenir l'épouse d'Alassane Ouattara, elle a en effet connu des hauts et des bas, ainsi que d’autres vies. Être devenue Première Dame de Côte d'ivoire et «femme de» n'est pas un aboutissement pour elle mais plutôt un pas de côté dans une vie professionnelle qu'elle avait jusqu'alors menée au pas de course. Dans le salon de sa résidence d'Abidjan (le couple n'habite pas au palais présidentiel), Dominique Ouattara sourit donc, comme sur tous ses clichés, mais elle est sur ses gardes et reste toujours méfiante. La voix douce mais le regard déterminé, elle craint d'être épinglée comme elle l'a été dans son passé d'ancienne chef d'entreprise, de française, de blanche et de catholique.
C’est surtout difficile d’être la «femme de» dans un monde politique où l'on cherche souvent à piquer celle qui est derrière le «grand homme». Alassane Ouattara serait-il devenu président de la République de Côte d'ivoire sans elle ? «Je crois qu'Alassane a un destin et je l'ai accompagné sur cette route», affirme-t-elle. Malgré ses dires, son rôle a été fondamental car lorsqu'on a voulu atteindre son mari, on a voulu l’atteindre aussi. «Les adversaires d'Alassane trouvaient que je lui donnais de la force, ils ont donc essayé de me démolir sur le plan moral, de me salir. Ils m'ont fait suivre», relate-t-elle. Dominique Ouattara ne s'étend pas mais affirme que «la politique est un monde dur. «Elle a beaucoup souffert de tout ce qui leur est arrivé, des journalistes aussi», confirme Elisabeth Gandon qui l'a remplacée à la tête de son groupe immobilier AICI et la connaît depuis vingt ans. En effet, Dominique Ouattara a connu avec son mari des périodes agitées quand, en 2010, alors que le Président Gbagbo refusait d'admettre l'élection de son rival, le couple et le gouvernement ont dû passer sept mois en captivité à l'Hôtel du Golf, à Abidjan. «On était enfermés, avec les orgues de Staline constamment sur nous. On se demandait si on allait en ressortir», se souvient-elle, évoquant cette période de guerre civile. De plus, en 2002, les Ouattara avaient failli être assassinés et avaient dû quitter leur maison assaillie par les chars des forces de sécurité proches du président Gbagbo. Ils avaient trouvé refuge à la résidence de France, des semaines durant, avant d'être exfiltrés par hélicoptère.

 «Une fonceuse»

 Le genre d'épreuves qui forgent un caractère et un couple. Alors, aujourd'hui, quand on évoque les attaques, les insinuations désobligeantes dont elle est encore parfois l'objet, elle prend sur elle. Et se tient soigneusement à l'écart de tout ce qui est politique. «Alassane connaît mon caractère, il ne m'impose pas de l'accompagner où je n'ai pas ma place». Du caractère, la dame en a, c'est clair. «C'est une fonceuse, elle n'a pas froid aux yeux», souffle admiratif un banquier qui la connaît. Et même si elle évoque souvent «son cher époux», elle n'a vraiment rien d'une potiche. C'est d'ailleurs ce qui a plu à son présidentiel mari. «Quand Alassane m'a rencontrée, il a aimé le côté femmes d'affaires, indépendante». Dominique Ouattara est une réelle femme d’affaire car elle a fait de la petite agence immobilière de deux personnes, rachetée à Abidjan, en 1979, un « groupe qui emploie aujourd'hui deux cents personnes » et est la première agence immobilière d'Afrique, implantée également à Paris et à Cannes.
Elle a également racheté le groupe Dessange aux États-Unis, en 1996, puis le groupe Radio Nostalgie, en Afrique. Aujourd'hui, Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d'ivoire, a décidé de reporter toute son énergie dans sa fondation Children of Africa, créée en 1998. Une Fondation qui milite pour le bien-être des enfants vulnérables d'Afrique dans les secteurs de l'éducation, de la santé et du social. Children of Africa vient ainsi de mettre en œuvre la construction d'un hôpital spécialement dédié à la mère et à l'enfant à Bingerville.
Elle était bien présente, dans un ensemble en tissu africain, à la cérémonie de la pose de la première pierre de cet hôpital, qui portera son nom, la Première Dame. Elle a écouté les hommages vibrants à « Maman Dominique», comme on l'appelle en Côte d'ivoire et notamment celui de son mari qui a dit combien il était fier de sa femme.

jeudi 29 mars 2012

Mme Dominique Ouattara : “Je travaillerai sans relâche à faire cesser le trafic d'enfants dans notre pays”

La Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara pilote désormais le Comité National de Surveillance de lutte contre la traite, l'exploitation et le travail des Enfants. Ce dernier vient de valider hier, au cours d'une cérémonie à l'amphithéâtre de l'espace CRRAE-UMOA au Plateau, le Plan d'Action National 2012-2014 (PAN 2012-2014) contre les pires formes de travail des enfants.

Présidente du Comité National de Surveillance contre la traite, l'exploitation et le travail des enfants, Mme Dominique Ouattara a réitéré son engagement à œuvrer pour l'amélioration de la condition de vie de ces enfants : «Au niveau du Comité National de Surveillance, nous nous ferons un point d'honneur à suivre la mise en œuvre de ce plan et à l'évaluer début 2015. Quant à moi, je m'y suis personnellement engagée et je travaillerai sans relâche à faire cesser le trafic des enfants dans notre pays ». Pour la Première Dame de Côte d’Ivoire l'avenir de ces milliers d'enfants en dépend : « L'enjeu de l'application effective de ce plan d'action, vous le savez, est capital. Il s'agit de l'avenir de milliers d'enfants, et pour eux, aucun compromis ne doit être accepté ». Dominique Ouattara a également ajouté : «Nous devons tout mettre en œuvre, afin qu'ils occupent réellement la place qui est la leur, sur les bancs de l'école, pour leur épanouissement affectif et intellectuel ainsi que pour le rayonnement de notre pays ».
Pour Mme Dominique Ouattara, le travail des enfants interpelle tout le monde. C'est pourquoi, elle a invité les différents acteurs à s'approprier le PAN.
Peu avant, M. Gilbert Kafana Koné, Ministre d'Etat, Ministre de l'Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité, et également président du Comité Interministériel de lutte contre la traite, l'exploitation et le travail des Enfants, avait noté que le PAN répond à un enjeu social et économique important pour le pays. Surtout que, dira t-il, « la Côte d'Ivoire est confrontée depuis une décennie au problème de la traite des enfants dans la cacao culture».
Représentant du Bureau International du Travail (BIT), Ben Lola, a, lui, souligné que l'élimination du travail des enfants est un défi mondial. Il a, ensuite, révélé que la pauvreté joue un rôle crucial dans le phénomène de travail des enfants. Aussi, à l'en croire, toute mesure de lutte efficace ne doit pas occulter cette dimension.
Secrétaire exécutif du Comité Interministériel, le Dr Adama Coulibaly, a présenté les grands axes du PAN dont l'objectif est de réduire le fléau d'ici à 2014. « Ce plan de lutte comporte quatre axes stratégiques. Il s'agit de la prévention, de la protection, de la poursuite et la répression et enfin de l'évaluation des activités », a-t-il fait savoir, avant de préciser que le coût total pour éradiquer définitivement le fléau est estimé à 13. 782. 595. 000 F CFA. La part de l'Etat ivoirien est estimée à 3. 032. 000. 000 F CFA soit 22 % de son budget de fonctionnement. Il reste, d'après lui, à mobiliser la somme de 10. 750. 595. 000 F CFA.
Enfin, le maire de la commune du Plateau, Noël Akossi Bendjo, a salué l'engagement de Mme Dominique Ouattara pour la cause des enfants en difficulté.

mercredi 14 mars 2012

Dominique Ouattara, Première dame de Côte d’Ivoire : «Je souhaite avoir un rôle de rassembleur»

Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire, a donné pour la première fois une interview. Arrivée à 22 ans en Afrique, Dominique Ouattara d’origine française évoque son engagement humanitaire pour un pays meurtri par des mois de conflit sans répits.

Gala : Vous êtes la présidente fondatrice de Children of Africa, une Ong créée en 1998. Qu’est-ce qui vous a incitée à vous investir dans l’humanitaire ?

Dominique Ouattara : « J’ai eu cette vocation étant très jeune. J’ai été choquée de voir des enfants vivre seuls, abandonnés dans les rues, alors même qu’en Afrique les familles sont très solidaires. J’ai voulu comprendre et aider. »

Gala : Quelles sont les principales actions de Children of Africa ?

Dominique Ouattara : « Nous intervenons en Côte d’Ivoire et dans dix autres pays d’Afrique. Nous menons des campagnes de vaccinations contre la typhoïde et la méningite. Nous distribuons des kits scolaires, faisons circuler un Bibliobus, aidons à la construction d’écoles et centres de santé… Notre foyer d’accueil à Abidjan, ‘’La case des enfants’’, recueille des jeunes livrés à eux-mêmes. »

Gala : Lors de votre récente visite d’Etat à Paris, vous avez rencontré Carla Bruni-Sarkozy, qui dirige elle aussi une fondation. Avez-vous échangé sur les mécanismes de gestion des fondations humanitaires?

Dominique Ouattara : « Bien sûr ! Elle m’a d’ailleurs promis de venir très prochainement en Côte d’Ivoire, afin de partager avec nous son expérience, en matière de lutte contre le Sida. J’ai été ravie avec sa petite Giulia, qui est absolument adorable. Nous avons évoqué ensemble nos vies de famille et la difficulté d’être dans la vie publique. »

Gala : Première dame de Côte d’Ivoire depuis plus d’un an, d’origine française, vous connaissez toutefois ce pays depuis que vous vous y êtes installée à l’âge de vingt-deux ans avec votre premier époux, qui était professeur d’économie. Quelles impressions gardez-vous de ce premier contact avec l’Afrique?


Dominique Ouattara
: « Lorsqu’on arrive en Afrique, on a un coup de cœur immédiat … ou pas. J’ai pour ma part été séduite par la gentillesse et la chaleur de la population. En Europe, les gens sont plus réservés. Lorsque je suis devenue veuve, à trente ans, j’ai choisi de rester en Côte d’Ivoire. Mon fils et ma fille avaient grandi dans ce pays, j’avais créé mon entreprise immobilière. Une partie de ma famille m’y a d’ailleurs rejointe. »

Gala : Vous avez épousé le Premier ministre Alassane Ouattara en 1991, et votre vie n’a pas été un long fleuve tranquille. En 2000, vous avez été victime d’une tentative d’enlèvement. En 2002, vous avez dû escalader le mur de votre propriété pour échapper à un attentat…

Dominique Ouattara : « Lorsque vous devenez l’épouse d’un homme politique, vous devez accepter qu’il y ait des hauts et des bas. Je croyais en l’idéal d’Alassane Ouattara et je n’ai donc jamais senti la nécessité de le décourager. C’est parfois difficile pour l’entourage. Nos enfants, qui faisaient leurs études à Paris, ont eu très peur en 2002, lorsqu’ils ont appris sur RFI que nous étions en danger de mort. »

Gala : Et puis il y eu le siège de quatre mois, pendant lesquels vous avez vécu aux côtés de votre époux retranchés dans l’Hôtel du Golf. Comment tient-on dans ces moments-là ?

Dominique Ouattara : « J’éprouve beaucoup d’amour pour mon mari, c’est ce qui m’a aidée à tenir. J’ai du mal, encore aujourd’hui à en parler. C’était dur de passer Noël sans pouvoir parler à sa famille, de savoir que des exactions étaient commises à l’extérieur. Mais il faut panser les plaies. Tout est fait pour que la réconciliation se réalise. Le chemin est en train de se faire. Il n’y a pratiquement plus de violence.

Gala : Comment concevez –vous votre fonction de Première dame ?


Dominique Ouattara
: « Je souhaite avoir un rôle de rassembleur et travailler en faveur de l’action sociale. Je n’ai pas un rôle politique. J’échange beaucoup avec les autres Premières dames africaines sur les thématiques qui m’intéressent, comme le microcrédit pour les femmes. Nous envisageons aussi d’organiser prochainement un sommet entre épouse de chefs d’Etat d’Afrique de l’Ouest sur le travail des enfants qui nous préoccupe beaucoup. »

Gala : La petite Dominique, née à Constantine dans une famille nombreuse se voyait-elle Première dame ?

Dominique Ouattara : « On ne s’attend jamais à cela. C’est peut-être lorsqu’on s’y attend trop, d’ailleurs que cela n’arrive pas ! »

Parution dans le Gala N° 978 du 7 mars 2012

mercredi 11 janvier 2012

Dominique Ouattara redonne le sourire à 3.000 enfants en difficulté

La Première dame de Côte d`Ivoire, Dominique Ouattara, présidente de la Fondation Children Of Africa, a offert des jouets à presque 3.000 enfants qui n'ont pas pu pas se rendre au palais présidentiel le 21 Décembre 2011 à l'occasion de l'arbre de Noël qu'elle avait organisé.

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Ces jouets d'une valeur globale de 30.000.000 de FCFA ont été remis, le mardi 20 décembre 2011 et répartis entre les centres d'accueil spécialisés pour enfants en difficulté : que cela soit des structures sanitaires accueillant des enfants malades ou à des enfants vivant dans les villages et hameaux du pays. C`est au total près de 28 entités réparties à travers tout le pays qui ont bénéficié de l'aide de la Première Dame de Cote d'Ivoire, Dominique Ouattara. Elle leur a donc fait retrouver le sourire à l'occasion de la célébration de la fête de Noël. En plus de ces cadeaux, Dominique Outtarra a offert la somme de 4.500,000 FCFA à ces différentes structures. C`est au total 34.500.000 F CFA que la Dame au cœur d'or a offert aux enfants, à l'occasion de Noël 2011.

lundi 21 novembre 2011

Mme Dominique Ouattara comble les populations

Le mardi 15 novembre 2011, la caravane de la solidarité s'est arreté pour sa 8ème étape, place Félix Houphouët-Boigny de Guiglo. Cette dernière a affiché complet.
Car, de plus, elle a servi de cadre à la deuxième journée de la campagne de vaccination gratuite contre la fièvre typhoïde, organisée par la Fondation Children Of Africa de Mme Dominique Ouattara.


La Première Dame de Côte d'Ivoire à fait un don de matériel conséquent soit 01 ambulance, 30 lits et matelas, 15 tables d’accouchement, 05 tables d’examen gynécologique, 35 boîtes d’accouchement, 75 kits d’incitation à la consultation prénatale. A cela s'ajoute, des vivres et des non-vivres qui ont été offerts aux déplacés et à des orphelins : soit 07 tonnes, 40 cartons d’huile, 40 cartons de savons, 15 cartons d’eau de javel, 100 nattes, 100 sceaux et 100 kits scolaires. Les femmes n’ont pas été oubliées non plus. En effet, 03 broyeuses multifonctionnelles et 03 décortiqueuses de riz et de maïs leur ont été offerts. En outre, l’institut féminin a reçu l’appui de Mme Dominique Ouattara. Cette structure a reçu 10 machines à coudre, 02 cuisinières à gaz et 01 congélateur.

A cette occasion, Mme Belle Madeleine, 4ème Adjointe au Maire de Guiglo a traduit les remerciements de la population: «(…) Je voudrais nourrir l’espoir que vos différents dons à Guiglo et partout en Côte d’Ivoire feront naître un nouveau type de citoyen auquel je ne cesse de rêver : Des hommes et des femmes toujours solidaires, conscients et soucieux de préserver la cohésion sociale afin de bâtir ensemble, une société libre, juste pour les générations actuelles et celles à venir ». Pour elle, la solidarité agissante de Mme Dominique Ouattara fait naître l’étincelle qui permettra au pays de retrouver son lustre d’antan. «(…) Aussi, chaque geste que vous posez au nom de la Première dame, au côté du Président de la République, fait naître en chaque ivoirien et en chaque ivoirienne ainsi que dans le cœur de chacun des habitants de ce pays, tous les souvenirs intarissables de cette Côte d’Ivoire de paix, de concorde et de fraternité que nous avons toujours connue », a-t-elle soutenu.

dimanche 13 novembre 2011

Dominique Ouattara apporte son soulagement aux victimes de la région des Montagnes

Le mercredi 8 novembre au Plateau, la population des régions du Moyen Cavally et des Montagnes ont été comblées par la fondation Children of Africa. En présence de nombreuses autorités et cadres originaires de ces régions, dont Albert Mabri Toikeuse, le ministre d’Etat et la présidente del'association, Dominique Ouattara, les habitants se sont vu offrir quatre ambulances, 200 lits-matelas, 100 tables d’accouchement et 50 tables d’examen gynécologique.




La Première Dame de Côte d'Ivoire, Mme Dominique Ouattara a également fait un don de 300 boîtes d’accouchement, 500 kits d’incitation aux consultations prénatales et 20 couffins. Pr Amoukou, directeur de cabinet, représentant le ministre de la Santé a félicité Dominique Ouattara pour cet acte qu’il a qualifié de ‘’bouffée d’oxygène pour son ministère’’.

Pour sa part, la donatrice s’est déclarée ‘’très affectée par les souffrances de ces populations victimes de la crise postélectorale’’. Elle a également ajouté : «En prélude de la visite du couple présidentiel dans ces localités, je tenais à vous remettre dès à présent, au nom de la fondation Children of Africa, des équipements et du matériel médical pour parer au plus urgent et soulager les malades de vos régions».

Pour finir, Dominique Ouattara a annoncé une tournée des représentants de sa fondation
dans les régions où les populations et le corps préfectoral ont besoin d'outils de développement et de lutter contre la pauvreté.